Actualités et séminaires

  • 12 avr Séminaire

    La présence dans l’environnement d’une multitude de contaminants organiques appartenant à diverses familles de composés, aux structures et propriétés physico-chimiques très hétérogènes, représente un risque majeur pour les écosystèmes aquatiques mais aussi pour l’humain, consommateur d’une ressource en eau menacée. Aux polluants dits traditionnels, en partie régulés, s’ajoutent des polluants d’intérêt émergent tels que les médicaments, les produits de soin personnel ou les nanoparticules, pour lesquels la connaissance de leurs sources et leur devenir reste très parcellaire.

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  • 10 avr Séminaire

    Les transferts de matières organiques naturelles et anthropiques dans les écosystèmes aquatiques et terrestres y induisent des changement d’équilibre qui peuvent avoir des impacts contrastés sur la biosphère. Etudier ces transferts à différentes échelles spatio-temporelles permet de comprendre leurs effets à plus ou moins long terme sur le continuum sol-eau-sédiment-biosphère.

     

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  • 06 avr Séminaire

    Face aux enjeux environnementaux liés aux surplus d'azote, à l'eutrophisation, aux émissions de carbone et au transformations des réseaux hydriques, les aires péri-urbaines sont relativement délaissées par rapport aux aires urbaines. Dans cette recherche menée grâce à un partenariat Labex BASC - FIRE - Terre et Cité, nous avons étudié le territoire du plateau de Saclay, situé en région parisienne. En considérant ce territoire comme un système organisant des flux de produits agricoles, de nourriture et de déchets, nous avons analysé son métabolisme via ses flux de N, P, C et eau.

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  • 03 avr Actualité
  • 30 mar Séminaire

    En dépit de leur surface relativement modeste (~8% de l’océan), les marges continentales contribuent de façon significatives au puits global de CO2 atmosphérique par l’océan avec un flux moyen par unité de surface 40% plus élevé que celui de l’océan ouvert. De surcroît, une analyse récente de la pression partielle de CO2 (pCO2) dans les eaux des marges continentales révèle un accroissement moins rapide que celle de l’atmosphère.

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